Le Joueur du Grenier dévoile le coût de production de ses vidéos YouTube
Frédéric Molas, mieux connu sous le nom de « Le Joueur du Grenier », a révélé les coûts de production de ses vidéos sur sa chaîne YouTube lors d’un live Twitch récent. Avec 3,74 millions d’abonnés, cette icône de la plateforme YouTube a commencé en critiquant les jeux les plus mauvais avant de développer des scènes plus complexes avec son partenaire Sébastien Rassiat et d’autres acteurs. Il a également créé des émissions dérivées telles que « Papy Grenier », « Les Jeux en Vracs », des hors-séries et une chaîne secondaire « Bazar du Grenier ». Le financement de ces tournages est rendu possible grâce à des opérations de sponsoring, ce qui montre bien que « l’argent est le nerf de la guerre », selon Molas.

Coût le plus élevé pour une vidéo du Joueur du Grenier
Frédéric Molas, aka le Joueur du Grenier, se livre régulièrement sur son métier de youtubeur lors de ses lives Twitch. Contrairement aux attentes, ce n’est pas la vidéo Harry Potter qui lui a coûté le plus cher à produire. Il révèle cette information lors de l’un de ses lives récents.
Harry potter n’a finalement pas côuté très cher. À l’époque, les figurants ramenaient leurs costumes et ne venaient pas de loin. On avait défrayé les guests et acteurs, car on n’avait pas les moyens pour les figurants. Elle n’a pas coûté très cher, car elle a été tournée sous 2 jours et demi. On avait un réalisateur qui est venu nous aider, et une petite équipe de 5 ou 6.
La vidéo commémorant les 11 ans de la chaîne s’est avérée être la plus coûteuse.
Quand on a tourné la JDG des 11 ans, qui a coûté entre 110 et 120 000 euros, à peu près, on l’a financé sur nos fonds propres (…) Oui, ça a coûté cher. Pourquoi ? Parce qu’il y avait du monde. Il y avait toute une équipe, machin, etc. Et (…) Non, évidemment, Antoine (Daniel) n’était pas payé. Pour la première fois de sa vie, il a fait du bénévolat.
Pas d’argent demandé aux spectateurs, mais une ouverture au crowdfunding.
JDG n’a pas souhaité demander de l’argent à ses spectateurs, ce qui a amené la question du financement participatif. Interrogé à ce sujet, Fréderic Molas n’a pas exclu cette option.
Le crowdfunding, moi je ne dis pas qu’on y aura jamais recours. Peut-être qu’un jour on y aura recours, à la toute fin. Peut-être qu’on y aura recours si on a envie de faire un méga-gros projet. C’est juste que, pour l’instant, c’est une carte que je mets en réserve, de côté. Tant qu’on en a pas besoin, on y fait pas appel. Pour l’instant, on préfère le système de sponsos.
Frédéric Molas a révélé lors d’un live Twitch que les opérations sponsorisées devenaient de plus en plus nécessaires pour maintenir la viabilité de sa chaîne, même si ce n’était pas son choix préféré.
« j’en fais parce que je n’ai pas le choix (…) Mais sachez que quand je fais des OP sur des jeux mobiles, mon cœur meurt un peu à l’intérieur à chaque fois. ».